Le Luxembourg affirme ne pas être un paradis fiscal


Les pays contre l’harmonisation fiscale sont outrés par les accusations de l’OCDE qui les accusent d’être des paradis fiscaux et ils remettent en cause les critères des paradis fiscaux et affirment « ce que nous ne sommes pas ». Cependant, ils disent ne pas avoir les mêmes moyens que la France. Leur pays sont dépendants du taux d’imposition pour financer leur population. Ils n’ont pas pu bénéficier d’aide au début de la création de l’Union Européenne donc leur solution est le taux d’imposition. Selon eux, au moment ou la crise les a frappés ils ont dû trouver une solution et n’ont pas reçu le soutien attendu de la part de l’Union Européenne. De plus, le Luxembourg a fait des efforts pour se conformer aux directives de l’Union Européenne notamment sur le sujet les registres des bénéficiaires effectives.

Le Luxembourg un système hors sol :

Selon le Journal du Monde, l’argent ruisselle au Luxembourg et érode les fondements des démocraties, vers quelques pays qui se sont organisés pour attirer 427 milliards de dollars soit 355 milliards d’euros qui sont soustraits aux finances des autres Etats chiffres révélés par Tax Justice Network.

Le pays du Luxembourg installe un environnement favorable pour la création de sociétés a favorisé un optimisation massive des dispositifs luxembourgeois par des individus et des entreprises qui les exploitent pour payer moins d’impôts, sans s’y installer réellement.

Dans ce système hors-sol, ou offshore, près de la moitié des 124 000 sociétés commerciales enregistrées dans le pays sont de pures holdings financières sans ancrage dans l’économie réelle, de simples boîtes à lettres sans bureaux ni salariés. Ces sociétés offshore concentrent 85 % du total des actifs des entreprises du Grand-Duché, soit plus de 6 500 milliards d’euros, selon les révélations d’OpenLux.